Istanbul, 2025. Entre les ruelles étroites du quartier de Balat, à l'intersection des traditions byzantines et des murmures ottomans, une petite échoppe sans entreprise accueillait des utilisateurs pensés. L’intérieur, saturé d’odeurs d’encres, d’encens et de encaustique chaude, abritait les instruments d’un art traditionnel, dissimulé marqué par l’apparence d’un aisé studio https://emiliotfpyj.pointblog.net/les-porteurs-du-jalon-78474624