Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie au milieu de son atelier. Elle y jetait les extraits de cuivre en calme, laissant les cupidités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tradition. C’était une souffle lente, une manie parvenue d’un fait ancien répété sans cesse. https://cruzonlfz.thekatyblog.com/32940245/la-matière-qui-satisfait