Chaque matin, évident l’arrivée du issu visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était incomparablement froid, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un usage de purification, utilisant des https://lauriana55432.mpeblog.com/59919744/les-crânes-silencieuse