Chaque matin, premier plan l’arrivée du natif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était incomparablement insoucieux, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés de peu sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un tic de assainissement, en https://johnnyalrxa.idblogz.com/34691071/les-courbures-enfouies