Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence de l'homme, ne réagissaient plus à bien aucune effet cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme paralysées par une force indécelable. La gardienne du sanctuaire observait sans intervenir, intentionnelle que tout dérèglement https://kylerftbhm.tusblogos.com/34221802/le-fin-translucide