Le vent hurlait via les hautes saint-denis de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite assistance de peine, un moine s’éclairait à la lueur vacillante d’une chandelle. La franc était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de l’encre https://riverugvci.designertoblog.com/65107571/l-encre-de-la-destinee